Description
Quelques explications du livre « phénoménologie de la perception’:
après Husserl, Merleau-Ponty tente de révéler la structure phénoménologique de la perception. Il écrit que si « la notion de sensation… semble immédiate et évidente », elle est en fait confuse. Merleau-Ponty affirme que parce que les « analyses traditionnelles » l’ont accepté, elles ont « manqué le phénomène de la perception ». Merleau-Ponty soutient que si la sensation peut être comprise comme « la manière dont je suis affecté et l’expérience d’un état de moi-même », il n’y a rien dans l’expérience qui correspond à une « sensation pure » ou « un atome de sentiment ».
Il écrit que « la prétendue évidence de la sensation ne repose pas sur un témoignage de conscience, mais sur des préjugés largement répandus ».
La thèse centrale de Merleau-Ponty est celle de la « primauté de la perception ». Il critique la position cartésienne du « cogito ergo sum » et expose une conception différente de la conscience. Le dualisme cartésien du corps et de l’esprit est remis en question en tant que principal moyen d’exister dans le monde, et est finalement rejeté en faveur d’une conception intersubjective ou d’une conception dialectique et intentionnelle de la conscience. Le corps est au cœur du récit de la perception de Merleau-Ponty. Selon lui, la capacité de réflexion provient d’un terrain préréfléchi qui sert de fondement à la réflexion sur les actions.
Il écrit que « la prétendue évidence de la sensation ne repose pas sur un témoignage de conscience, mais sur des préjugés largement répandus ».
La thèse centrale de Merleau-Ponty est celle de la « primauté de la perception ». Il critique la position cartésienne du « cogito ergo sum » et expose une conception différente de la conscience. Le dualisme cartésien du corps et de l’esprit est remis en question en tant que principal moyen d’exister dans le monde, et est finalement rejeté en faveur d’une conception intersubjective ou d’une conception dialectique et intentionnelle de la conscience. Le corps est au cœur du récit de la perception de Merleau-Ponty. Selon lui, la capacité de réflexion provient d’un terrain préréfléchi qui sert de fondement à la réflexion sur les actions.
livre –
Le successeur du grand BACHELARD au collège de France